Des dizaines de millions levés, des restaurants jamais ouverts, et des plateformes qui détournent le regard.
Excellent travail salutaire sur les dérives cautionnées par les plateformes de crowdfunding.
Je me suis amusé à mettre de maniÚre pédagogique 1500⏠sur Tudigo sur une de ses innombrables levées car je voulais suivre ce que je percevais comme étant un projet bien pourri.
Cela n'a pas raté.
La nullité (au sens propre) du travail d'analyse de Tudigo a été répétée lors d'une levée de fonds pour des chùteaux. La sélectivité de ces plateformes est proche du néant...
FĂ©licitations Benjamin une nouvelle fois pour la qualitĂ© et la prĂ©cision des Ă©lĂ©ments fournis. Brillant, bluffant et... Ă©clairant sur certaines pratiques bien connues en matiĂšre de due diligence sur l'analyse des projets. Car au final, tout repose sur un seul paramĂštre : en dehors de ce qui est prĂ©sentĂ©, peut-on avoir confiance dans l'entrepreneur pour lui prĂȘter ? Et cet aspect lĂ est forcĂ©ment complexe Ă Ă©valuer, mesurer, dans le cadre d'une prise de dĂ©cision qui est nĂ©cessairement rapide (plate-formes de levĂ©e obligataire) ET pour lesquelles le gain liĂ© aux honoraires perçus est un one shot pour l'intermĂ©diaire, les petits prĂȘteurs Ă©tant les seuls Ă ĂȘtre exposĂ©s Ă la bonne fin de l'opĂ©ration. Bref, un non-alignement des intĂ©rĂȘts qui est prĂ©judiciable, indĂ©niablement. Et nous ne sommes qu'au (tout dĂ©but ) de la dĂ©couverte de l'iceberg monumental qui est en train de fondre. En clair, environ 1,5 Mds de dettes obligataires sont en contentieux ou prĂ©-contentieux Ă ce stade sur le seul marchĂ© français, en raison, majoritairement, de ces intĂ©rĂȘts divergents entre des plate-formes court termistes dans leur organisation, et des "petits prĂȘteurs" non professionnels qui pensent que les plate-formes qui reprĂ©sentent la "masse des obligataires" sont de fins limiers de la due diligence et de la dĂ©tection des entrepreneurs de confiance. HĂ©las, sauf exception, que nenni ! Et l'exemple citĂ© l'illustre cruellement, chez Tudigo et Raizers comme chez les autres...
Et bravo pour l enquĂȘte intĂ©ressante comme beaucoup dâautres
EnquĂȘte trĂšs intĂ©ressante et non sans risque ! il y a plus de coup Ă prendre dans ce genre dâaffaire. Ătant professionnel de la finance je trouve beaucoup de mes confrĂšres trĂšs con sur des sujets comme le crowfunding les produits alternatifs, les crypto etc. ils ne maĂźtrisent rien, mais cela ne les empĂȘchent pas de vendre pour mieux se faire mettre ensuite par les autoritĂ©s de tutelles .l intĂ©ressĂ© au moins prend les memes risques mais a une Ă©chelle d un autre niveau..
Quel travail dâenquĂȘte ! Bravo. Un peu Ă©tonnĂ© quand mĂȘme de toutes ces acrobaties.
Excellent travail salutaire sur les dérives cautionnées par les plateformes de crowdfunding.
Je me suis amusé à mettre de maniÚre pédagogique 1500⏠sur Tudigo sur une de ses innombrables levées car je voulais suivre ce que je percevais comme étant un projet bien pourri.
Cela n'a pas raté.
La nullité (au sens propre) du travail d'analyse de Tudigo a été répétée lors d'une levée de fonds pour des chùteaux. La sélectivité de ces plateformes est proche du néant...
FĂ©licitations Benjamin une nouvelle fois pour la qualitĂ© et la prĂ©cision des Ă©lĂ©ments fournis. Brillant, bluffant et... Ă©clairant sur certaines pratiques bien connues en matiĂšre de due diligence sur l'analyse des projets. Car au final, tout repose sur un seul paramĂštre : en dehors de ce qui est prĂ©sentĂ©, peut-on avoir confiance dans l'entrepreneur pour lui prĂȘter ? Et cet aspect lĂ est forcĂ©ment complexe Ă Ă©valuer, mesurer, dans le cadre d'une prise de dĂ©cision qui est nĂ©cessairement rapide (plate-formes de levĂ©e obligataire) ET pour lesquelles le gain liĂ© aux honoraires perçus est un one shot pour l'intermĂ©diaire, les petits prĂȘteurs Ă©tant les seuls Ă ĂȘtre exposĂ©s Ă la bonne fin de l'opĂ©ration. Bref, un non-alignement des intĂ©rĂȘts qui est prĂ©judiciable, indĂ©niablement. Et nous ne sommes qu'au (tout dĂ©but ) de la dĂ©couverte de l'iceberg monumental qui est en train de fondre. En clair, environ 1,5 Mds de dettes obligataires sont en contentieux ou prĂ©-contentieux Ă ce stade sur le seul marchĂ© français, en raison, majoritairement, de ces intĂ©rĂȘts divergents entre des plate-formes court termistes dans leur organisation, et des "petits prĂȘteurs" non professionnels qui pensent que les plate-formes qui reprĂ©sentent la "masse des obligataires" sont de fins limiers de la due diligence et de la dĂ©tection des entrepreneurs de confiance. HĂ©las, sauf exception, que nenni ! Et l'exemple citĂ© l'illustre cruellement, chez Tudigo et Raizers comme chez les autres...
Et bravo pour l enquĂȘte intĂ©ressante comme beaucoup dâautres
EnquĂȘte trĂšs intĂ©ressante et non sans risque ! il y a plus de coup Ă prendre dans ce genre dâaffaire. Ătant professionnel de la finance je trouve beaucoup de mes confrĂšres trĂšs con sur des sujets comme le crowfunding les produits alternatifs, les crypto etc. ils ne maĂźtrisent rien, mais cela ne les empĂȘchent pas de vendre pour mieux se faire mettre ensuite par les autoritĂ©s de tutelles .l intĂ©ressĂ© au moins prend les memes risques mais a une Ă©chelle d un autre niveau..
Quel travail dâenquĂȘte ! Bravo. Un peu Ă©tonnĂ© quand mĂȘme de toutes ces acrobaties.