💥Blast attaque Éric Larchevêque
L'inévitable divorce entre Blast et son ex-ambassadeur
Bonjour à tous,
C’est peu dire que la récente annonce de la Bitcoin Society d’Éric Larchevêque est un flop. Pas parce qu’il est énervé après moi pour avoir balancé l’info 3 semaines avant, mais parce qu’à l’exception d’un des fondateurs The Big Whale, qui s’est émerveillé en oubliant de dire dans son premier post que Larchevêque était actionnaire (mais précisé dans un deuxième), peu de gens ont trouvé du positif à ses annonces. Y compris parmi les partisans de Larchevêque présents à l’évènement.
Objectivement, parce que la conférence était nulle. Vendue comme un machin immersif, on a eu le droit à un Larchevêque stationnaire devant des PowerPoint mal animés au milieu de blagues gênantes.
Et plus largement parce que les annonces n’ont aucun intérêt. Une sortie de lobby Truc Society dont personne n’a rien compris. Un Bitcoin Treasury Society, lancé alors que Saylor s’effondre, par celui qui a fait de la décentralisation et de « not your keys, not your coins » sa devise (et son business). Puis un énième club business pour vendre ses conseils.
Du jamais vu depuis la veille.
Mais ce qui est le plus étonnant, c’est l’évident manque de cohérence et de lisibilité. Sur les idées évidemment(je l’ai expliqué ici), mais aussi sur le fait de sortir ça quelques mois après Day One, un club d’investissement où plusieurs membres se sentent aujourd’hui « lésés » ou « abandonnés », selon leurs mots.
Et qui est donc le sujet du jour.
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Note post-publication : Clément Garin avait en réalité sorti l’information de la procédure judiciaire dès lundi
EDIT 09/12/2025 09H01 : adaption de la formulation sur The Big Whale dans l’introduction
💡Zero Day
Quelques mois après le lancement du club, Éric Larchevêque rejoint Blast mi-20231, en tant qu’ambassadeur, aux côtés de Tony Parker ou Benjamin Chemla, aujourd’hui partis, ou de Louis Marty, Carole Juge-Llewellyn et plus tard Rand Hindi, Paul Lê. Ou encore Thomas Rebaud qui aurait du lancer Blast Angels2, version européenne de Blast, qui a finalement abouti sur Akka, en Espagne et en Italie.
Cette image était rémunérée via :
0,75% du montant levé si l’ambassadeur porte le deal, apporté par Blast, et 2,5% de carried (grâce aux ADP, plusieurs fois expliquées ici) ;
1,5% upfront du montant levé si le deal est apporté par l’ambassadeur, et 5% de carried.
Contrairement à d’autres ambassadeurs, Éric Larchevêque (qui a apporté deux deals) n’a été rémunéré qu’en carried, tout en leverageant son expérience passée, de cofondateur de Ledger ou Coinhouse. Une expérience qu’il survend largement, oubliant régulièrement de dire qu’il a été sorti de force, avant que la startup n’explose vraiment. Et que, contrairement à ce que beaucoup continuent encore à asséner, Ledger n’est plus valorisée plus d’1G€ dans les bilans de la plupart des fonds qui y ont investi. Un rôle plutôt passif selon la communication que Day One
« Son rôle était d’apporter des contacts de startups dans l’univers de la technologie. À aucun moment il n’a été investisseur ou associé dans la société Blast.»
Évidemment, l’association n’est pas un total hasard. Parce que Larchevêque est, comme Marc Simoncini, juré de Qui veut être mon associé ? depuis la première saison. Une année avant l’arrivée d’Anthony Bourbon.
De l’avis de plusieurs membres de Blast interrogés, Larchevêque faisait partie des ambassadeurs les plus appréciés de Blast. L’un évoque son accessibilité et ses conseils réguliers, quand l’autre parle d’un entrepreneur qui est « de loin » celui qui a le « plus gros parcours » parmi tous.
Sauf que depuis, Éric Larchevêque a décidé de faire chambre à part.
🔥Day One
Probablement conscient de sa propre aura, et face à la réussite des projets personnels de plusieurs jurés (ce qui fera l’objet d’une newsletter dédiée prochainement), Larchevêque fait germer l’idée de lancer son propre projet, et l’annonce en février 2025 à l’équipe de Blast. Puis officiellement sur le Discord interne de Blast.
Publication d’Éric Larchevêque dans le Discord de Blast
Larchevêque s’engage donc à ne jamais concurrencer Blast dans un e-mail auprès de Blast au sujet de cette exclusivité :
« Je vais lancer un club autour de l’éducation financière qui va parler d’investissement […] L’activité n’a rien à voir avec Blast, mais il n’est pas impossible que l’on puisse désigner ce club par “club d’investissement” (même si aucun investissement n’est proposé). »
Ce qu’il me confirme en d’autres termes.
« Un avenant a été signé par Blast et ses représentants légaux, précisant explicitement que ce projet n’entre pas dans le champ de la clause d’exclusivité ou de non-concurrence. »
Parce qu’évidemment, tous les ambassadeurs de Blast ont un contrat d’exclusivité de deux ans, comme me l’a confirmé un ambassadeur3, qui leur interdit notamment de s’associer à d’autres clubs d’investissement.
Le problème, c’est que si, comme tous les gens qui font ce taf, il est dit partout que ceci n’est pas un conseil en investissement et autres ouin-ouineries… Day One n’est bien qu’un énième club comme les autres.
Certes, le club a une académie qui propose des formations vidéos. Mais en réalité, sur les 8 cours, le premier est une intro sans intérêt, le dernier ne sont que les lives de Day One.
Quant aux 6 autres, ils ont entre 2 et 15 leçons, sauf celui du Bitcoin avec ses 60 vidéos par Larchevêque. Parmi les autres intervenants/profs, on retrouve Nathan Benchimol Pissaro, associé de Larchevêque, passé 4 ans par MySeedAdvisor, et Julien Sirtaine, avec un profil web3, associé à plusieurs des projets ou investissements de Larchevêque (Coinhouse, The Big Whale, The Bitcoin Society).
Extrait d’une des formations
Le tout sert principalement à taper (avec de plus ou moins bons arguments) sur la finance traditionnelle et présenter des investissements alternatifs. Dont Bitcoin, donc.
🤓The X-Files
Ces alternatives sont notamment présentées par les dossiers, l’autre grande rubrique de Day One. De très longs PDF de plusieurs dizaines de pages, plutôt jolis et intéressants, qui présentent des manières d’investir sur des thématiques, comme l’IA, les forêts, les terres rares ou encore l’activité de marchand de biens.
Extrait des dossiers publiés sur Day One
Si, as usual, une longue note d’introduction parle souvent de risque et du fait que c’est pédagogique et bla-bla-bla, il s’agit clairement de conseil en investissement. Certes pas au sens de MIF2, mais soyons terre à terre. Ce sont des conseils. Et c’est pour investir. Dans le document sur l’IA, il est par exemple présenté des cours cibles.
Analyse de l’action Microsoft, dans un dossier
Mais cela dit, il n’est pas vraiment question de conseiller un titre plutôt qu’un autre. Lorsqu’il est question d’ETF, plusieurs sont conseillés, et les risques sont en réalité plutôt mesurés et expliqués.
Ce qui est plus étonnant, c’est la dernière catégorie.
🫧Drop Game
Parce qu’il y a une 3e rubrique qui s’appelle « Drops », et qui ressemble à s’y méprendre aux dossiers : une thématique, un PDF.
Alors, pourquoi en faire une catégorie dédiée ? Eh bien la réponse est planquée à la fin des PDF : les drops ont en réalité des dossiers qui servent à vendre un placement financier. Ce que Day One m’explique avec ses mots. Et son angle.
« Chaque mois, un “drop” met en lumière une classe d’actifs : un dossier complet est fourni pour expliquer son fonctionnement, ses opportunités et ses risques. Un partenaire qualifié est ensuite présenté aux membres souhaitant investir, avec des conditions préférentielles négociées (notamment des frais drastiquement réduits). »
Prenons les 25 pages du premier : les altcoins. Après avoir expliqué comment se forger une allocation crypto, la page 22 annonce que le partenaire du drop est Coinhouse, société où Larchevêque est un des principaux actionnaires. Ce qui n’est au passage jamais précisé. L’objectif est ici de vendre pour 366€ l’offre de Gestion Privée de la plateforme, affichée 732€ sur le site de Coinhouse. Étonnamment, les risques sont bien plus discrets.
Mais quelques temps après, plusieurs membres se sont plaints des conseils de Coinhouse, surtout en cette période très mouvementée pour les cryptos, avec une allocation particulièrement risquée.
Extrait du Discord de Day One
Dans le 2e drop, il est question de placer à 23,5% / an pour de l’immobilier à Marrakech via Stoniz. Une société française créée il y a tout juste un an par Jonathan Nabais, dont ce n’est visiblement pas l’activité principale, et qui était à l’origine censée être une énième plateforme de fractionnement immo. Sur son site, la plateforme revendique « 35 projets livrés » en « 15 mois d’activité », ce qui semble peu cohérent. Et n’a donc pas le moindre agrément. Ce qui n’empêche visiblement pas Day One de trouver le risque plutôt faible.
Extrait du drop Stoniz
Puis arrive la possibilité d’investir dans le pré-IPO de Kraken pour 39$ l’action à 10G$ de valorisation, à partir de 1’000€. Des conditions, datées de l’été 2025, effectivement avantageuses, puisqu’en novembre dernier, Citadel Securities est apparu à la captable de Kraken lors d’un tour à 800M$ pour 20G$ de valo. Mais qui ne dit, en réalité, pas grand-chose des conditions d’entrée réelles des membres de Day One, tellement les pactes d’associés et les SPV intermédiaires sont complexes et nombreux. Mais qui pose néanmoins la question de l’intermédiaire qui structure ces 300k€ levés, contre 8% de frais upfront et 15% de carried, puisque Day One n’a aucun agrément. Et qui ressemble à ces deals qu’on avait vus sur le club d’Hakim Benotmane, qui financent le plus souvent la liquidité de gros véhicules.
Extrait du drop Kraken
L’opportunité, qui, semblerait-il, n’est pas allée au bout, a néanmoins provoqué quelques remous dans la communauté, qui doutait des conditions d’entrées. Et qui remettait au passage l’intérêt du carried, point qui a été soulevé par plusieurs professionnels récemment, concernant ces nouveaux clubs qui vendent du private equity de grosse startup. Parce que le carried récompense un risque et une gestion. Il semble nettement moins justifié lorsqu’il s’agit de deal structuré via des SPV de SPV (etc.) dont l’intermédiaire ne maîtrise aucunement la chaîne de valeur ou la gestion.
Extrait du Discord de Day One
Plus étonnant, le drop suivant propose du 10% / an avec capital garanti pour investir… dans la musique via Dibsteur. Et qui pose quelques questions.
Parce que Dibsteur n’est pas une plateforme de royalties, comme il en existe parfois, ni de tokenisation de droits ou de catalogues. C’est une plateforme qui permet aux artistes de diffuser leurs titres pour 40€ / mois sur les plateformes comme Spotify, YouTube ou Deezer, et de récupérer 100% de leurs royalties.
La présentation, elle, raconte plutôt l’histoire habituelle : comment la musique et les droits d’auteurs génèrent de l’argent. Parce qu’il est bien question ici d’« investir dans des chansons ». Et qui dans la formulation ressemble à ANote ou Bolero, qui sont d’ailleurs cités.
Le modèle présenté ne semble donc pas être celui de Dibsteur, mais plutôt de financer les avances de production contre un droit sur les royalties.
Extrait du drop Dibsteur
Un modèle qui n’est donc pas initialement celui de Dibsteur, mais qui, surtout, va à l’encontre des positions AMF sur le sujet, qui veut drastiquement limiter les royalties, parce que c’est très opaque et très risqué pour les investisseurs. Le régulateur avait pris une position très ferme fin 2022 suite aux débordements de Bricks4.
Là encore, le risque est estimé comme très faible, et le capital est dit garanti, contre 10% / an.
Encore plus exotique, le drop suivant propose… un investissement en cartes Pokémon. Et ici on affiche carrément du 48% / an pour un SPV qui va visiblement investir dans un portefeuille de cartes, géré par Thunder5.
Une plateforme dont la page « mentions légales » ne fonctionne pas, qui ne remonte sur aucun des registres d’agrément, mais dont la description du site internet semble parler de gestion pour compte de tiers.
Extrait du site de Thunder
Le drop permet de passer de 2% à 0% d’upfront en fonction du montant investi, et de réduire le carried de 25% à 12%. Tout ça pour un risque évidemment modéré.
Suit une offre DeFi, là encore occultant l’intégralité des risques alors que Mon Livret C vient de paumer des millions d’euros, précisément à cause de la DeFi, en toute discrétion, après avoir très largement minoré les risques. Le dossier est cette fois associé à Gami Capital, un acteur suisse visiblement non régulé, mais via Tilvest, enregistré PSAN en France6.
Enfin, le 8e et dernier en date promeut l’investissement à Dubaï via Invest Dubai, société qui ressemble à une coquille vide et dont la page « Who We Are » ne donne aucun indice, mais qui appartient en réalité à Greenbull, dont la personnalité la plus connue est le formateur Yann Darwin, qui a fait fortune dans la vente de formations immo. Là encore, pour 10–20% de rendement (35% d’objectif), le risque serait « très faible ».
Cette communication ultra-agressive sur les risques et les rendements est d’ailleurs une constante depuis le lancement de Day One, comme le montre cet e-mail envoyé quelques jours avant l’annonce officielle.
Interrogé à l’époque sur ce poi,t, Éric Larchevêque m’avait répondu, sur le bulletpoint 10-15%/Livret A :
« Cette formulation est effectivement très malheureuse et n’aurait jamais du passer en relecture. J’en suis le premier responsable et j’assume cette erreur. Cependant, après l’avoir constatée, nous avons supprimé le texte de nos communications (impossible dans l’email qui était parti...) et nous avons revu nos process internes pour éviter que cette erreur puisse se reproduire. D’autre part, nous n’avons jamais présenté la moindre offre réelles à nos membres avec ce type de terminologie inexacte, et l’ensemble des risques sont explicités en détails à chaque fois. »
Une communication qui montre d’ailleurs que dès le lancement, Day One voulait bien proposer du private equity.
❌Private equity, Public enemies
Parce que sur la liste précédente, j’ai « oublié » de mettre le 3e drop : « Investir dans les meilleures entreprises du marché à partir de 100€ » avec le traditionnel rendement bullshit du private equity qui oublie, outre le fait que les performances passées ne présagent pas bla-bla-bla, que ces stats sont une moyenne qui incluent les gros fonds instits, alors que les retails (coucou les FCPI) ont des performances souvent proches de l’inflation, pour des risques très élevés.
Cette fois, le partenaire affiché en face de 14,2% de rendement est Fundora, le drop consistant à réduire les frais (très élevés en private equity) de 10%.
Note de conflit d’intérêts : Fundora a été sponsor de Zero Bullshit dans le passé, et a passé commande d’une publicité pour une prochaine édition.
Par ailleurs, il semble qu’un prochain drop (après du 20-100% / an en immo à risque modéré) soit également en cours.
Plusieurs personnes, membres à la fois de Club et de Day One, auraient remonté cette information, qui a, selon mes informations, très énervé Blast qui a fini par assigner Day One pour « parasitisme » et « concurrence déloyale », et Éric Larchevêque pour « non-respect de la clause d’exclusivité », faute de trouver un terrain d’entente.
« Il semblerait que le différend actuel, très récent, provient du fait que Blast estime désormais que la clause d’exclusivité aurait été violée lorsque nous avons présenté à nos membres un dossier dans le private equity en général. Or rien, dans la clause d’exclusivité, ne nous interdit de parler de cette classe d’actif. »
Plus largement, Day One se défend de proposer des deals comme le ferait Blast, à l’unité, et argue que l’exclusivité serait éteinte depuis aout 2025, date de la résiliation du contrat d’exclusivité.
Certes. Mais les tensions ont été ravivées après que plusieurs membres de Blast se sont étonnés dans le Discord de la plateforme d’avoir été… démarchés par Day One, sans visiblement avoir donné leurs coordonnées au préalable.
Du côté de Day One, plusieurs membres se sont étonnés d’avoir reçu une newsletter de The Bitcoin Society, le nouveau projet de Larchevêque annoncé en novembre, signée par The Bitcoin Society, mais envoyée via la base de Day One. Au moins l’un d’entre eux a interrogé la CNIL à ce sujet.
Quand à la concurrence déloyale, ce pourrait être parce que Day One s’est clairement positionné en tant que club d’investissement… face à Blast. Début 2025, dans ses communications avec Blast, Larchevêque se contentait de dire qu’il pourrait être qualifié de club d’investissement. Jamais qu’il le ferait lui-même.
Extrait d’un email envoyé aux membres de Day One
De son côté, le club de Larchevêque se défend en parlant d’un modèle différent.
« Nous ne percevons aucune commission sur les opérations réalisées entre les membres et ces partenaires.
Nos revenus proviennent exclusivement des adhésions annuelles.
Nous ne collectons pas de fonds et ne structurons pas de deals.
Notre mission est strictement pédagogique : expliquer les classes d’actifs, et identifier des partenaires fiables pour ceux qui souhaitent aller plus loin. »
🫣 Qui veut encore être leur associé ?
Selon une source proche de Day One, Éric Larchevêque préparerait actuellement une réponse à cette attaque. Ce qu’il n’a pas voulu confirmer. Une démarche très, très mal vue par Satisfaction, producteur de Qui veut être mon associé ?, et surtout M6, qui doit déjà se débattre avec son actionnaire allemand qui commence à voir d’un très mauvais œil cette émission qui fait un peu trop de vagues.
D’autant que le tournage de l’émission aurait été houleux, notamment à cause de la froideur des relations entre Larchevêque et Bourbon. Et parce que la chaîne a également appris qu’un autre membre du jury allait lancer une sorte de Blast immobilier dans les jours qui viennent.
Il aurait été demandé aux participants de calmer leurs ardeurs, alors que la diffusion aura lieu début 2026. Et qu’elle pourrait bien être la dernière. Mais on y reviendra plus en détail prochainement…
Contacté, Blast n’a pas souhaité s’exprimer.
Eric Larchevêque, cofondateur de Ledger : « Je conseille aux jeunes de réapprendre à s’ennuyer », Linda Labidi, Be A Boss, 12 mai 2023
RCS 953 656 717
PSFP FP-2024-9
Qui souhaite rester anonyme et pour lequel il ne sera donc pas précisé s’il est toujours ambassadeur ou non
L’AMF met en garde le public contre certaines plateformes proposant d’investir dans l’immobilier sous forme de « royalties », 23 décembre 2022
RCS 919 312 967
RCS 908 181 324
PSAN E2022-47






















