Bonjour,
Vous les connaissez. Ils sont lààà, dans les campaaaagnes, dans les viilles, ils sont sur les réseaux socio-o-o. Évidemment je parle… des partis politiques. Ils sont une poignées à exister médiatiquement et en leur sein, on voit régulièrement passer plusieurs de leurs représentants. Mais qui représentent-t’ils vraiment ? Parce que la France comporte 50M d’électeurs. Dont une majorité aujourd’hui ne se retrouve plus vraiment dans un parti spécifiquement. Pourtant, le pouvoir (en tout cas national, comme on le verra) est parfaitement gardé par cette toute petite caste attachée à ses privilèges (même dans les partis où on aime dire qu’on souhaite les abolir), abreuvée d’argent public.
Mais comment ceux qui dirigent ou voudraient diriger la France et donnent chaque jour des leçons sur les finances publiques gèrent vraiment leur parti ?
Si t’es un petit malin, t’as déjà deviner que c’était le sujet du jour (bon, c’était aussi écrit dans l’objet de l’email).
C’est parti !
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Petits élus, grands mystères
« Tout n'est pas politique, mais la politique s'intéresse à tout. »
- Nicolas Machiavel
Bah moi je pense qu’il a tort, Machiavel. Politique vient du grec πολιτικός (politikos) qui veut dire « citoyen ». Historiquement, c’est ce qu’on appelait la vie de la cité. Aujourd’hui le terme même de politique est devenu un repoussoir parce qu’il renvoie à l’image qu’on a des orateurs qui passent à la télé, vieux, blancs, en costard. Certes, depuis 20 ans, la caricature a un peu bougé. Mais l’image que le public s’en fait, pas tellement.
Le paroxysme de ce rejet a eu lieu pendant la fameuse période des Gilets jaunes. Si le mouvement a toujours été très hétérogène, et qu’encore aujourd’hui on a du mal à le définir, tellement il a été différent entre les premiers jours, et les suivants sur les ronds-points, il a fortement été marqué par le rejet du politique. Au point que ni les partis, ni les syndicats, n’ont su comment l’appréhender.
Puis a émergé le mot apolitique. Pourtant, qu’est-ce qui pourrait être plus politique que les Gilets jaunes, qui voulaient tour à tour changer la Constitution, révoquer les élus, modifier la fiscalité ou réclamer plus d’aides ?
On peut aussi citer Emmanuel Macron qui, l’été dernier , expliquait que les JO n’étaient pas politiques. Alors pourquoi le choix d’une ville donne-t-il lieu à des tractations diplomatiques infinies ? Pourquoi certaines nations sont-elles mises au ban, ou au contraire protégées ? Interdire des athlètes russes, ou à l’inverse donner un statut aux athlètes palestiniens, c’est hautement politique, peu importe l’avis qu’on a sur la question.
Si je fais cette (longue) introduction, c’est parce qu’elle permet sans doute d’expliquer un bien étrange paradoxe qui, selon un fin connaisseur de la vie politique, ne daterait que d’il y a quelques dizaines d’années. Mais que, honnêtement, j’ai eu la flemme de recouper pendant des heures vu que c’est pas (entièrement) le sujet.
Aux dernières élections municipales, dont on se rappelle l’étonnant second tour en plein milieu du confinement, les 42 villes de plus de 100’000 habitants, ont été remportées par le représentant d’un parti d’envergure nationale, à l’exception notable de trois villes :
Le Havre, avec Édouard Philippe, classé divers droite, ex-LR (et ex-PS d’ailleurs) qui a son propre parti Horizons, mais qui n’a pas assez de % pour être comptabilisé séparément1 ;
Annecy, avec François Astorg, classé écologiste, ex-EELV ;
Saint-Paul, avec Huguette Bello, classée Pour La Réunion, parti local, même s’il est rattaché à l’Assemblée nationale à la NUPES puis au NFP, et qui vient du PCR.
Mais dans les plus petites villes, les maires s’écartent volontiers des partis, sans doute parce que, même s’ils peuvent avoir les idées des uns ou des autres, ils préfèrent que leurs administrés les voient indépendants. Et la proportion est sidérante :
13,71% divers droite ;
13,16% divers gauche ;
5,77% divers centre ;
6% divers rien ;
55,30% sans étiquette.
Ce qui l’est encore plus, c’est la dichotomie entre les partis dont on entend parler tous les jours dans les médias, et leurs résultats aux scrutins locaux.
Si j’ai commencé par ces chiffres, c’est parce qu’ils permettent de mettre en perspective les financements des quelques 534 (!) partis politiques déclarés en France. Parce que si tout le monde connaît ceux de Mélenchon, Macron ou Le Pen, qu’on entend parfois parler des micro partis de Le Maire ou Ciotti (rarement pour de bonnes raisons, d’ailleurs) il en existe une foule d’autres, dont la majorité sont à dimension régionale, départementale, voire municipale.
Et ça influe énormément sur le financement.
Par ici la monnaie
Pour faire simple, y’a 4 manières pour un parti de gagner de l’argent :
Les aides publiques, principalement basées sur les résultats aux élections ;
Les adhésions des particuliers (ou des élus) ;
Le reversement d’une partie des indemnités des élus ;
Les dons privés, de particuliers ou d’entreprises.
Mais en réalité, les 4 sont de l’argent public, puisque les dons sont défiscalisés à hauteur de 66%, dans la limite de 20% du revenu imposable.
Note : merci à la CNCCFP2 pour son aide sur les chiffres
Les cotisations d’adhérents
En 2023, 44 M€ ont été dépensés en cotisations par des particuliers, ouvrant le droit à 66 % de réduction d’impôt, soit jusqu’à 29 M€ de coût pour l’État. À lui tout seul, le PCF revendique 13 % de tous les dons, loin devant ses petits copains.
Ces chiffres3 permettent de mettre en perspective le nombre d’adhérents réels, parfois loin des chiffres revendiqués. Par exemple, LFI qui revendique 370K adhérents a perçu très exactement… 0€ de cotisation. Les chiffres du Modem (12K adhérents revendiqués) montrent un montant de 9€ par personne, alors que l’adhésion est à 20€. On est plutôt proche de 5’150 adhérents. Pareil pour Horizons : l’adhésion de 30€ donne 7’830 adhérents (au lieu de 34’000). Ou Debout la France qui avec son adhésion à 35€ plafonne à 2’500 adhérents (et pas 15’632).
M’enfin, c’est sûrement à cause de l’inflation.
Les chiffres semblent plus cohérents à l’extrême droite, avec des montants compris entre 20 et 40€ pour Reconquête, l’UPR, RN ou Les Patriotes. Pareil pour LR ou Renaissance, quand on va un peu moins à droite.
Ces mêmes chiffres semblent beaucoup moins cohérents à gauche… mais pas pour les raisons qu’on pourrait imaginer. Avec 94€ / adhérent au NPA, 144€ au PCF et même 179€ à Lutte Ouvrière, et parce qu’on peut imaginer que les partis ne mentent pas à la baisse sur leur nombre d’adhérents, il est probable que les montants libres de cotisation encouragent les cotisations élevées.
Montant total reçu en cotisation, par parti
Les cotisations d’élus
Seuls 10 partis reçoivent plus de 100K € de cotisations de leurs élus. Les partis de gauche représentent à eux seuls près de 75 % de ces financements, qui, finalement, peuvent être comparés à une sorte de néocommunisme. Puisque le principe, c’est que les élus donnent un pourcentage de leurs revenus (issus de l’argent public) au parti, pour le financer. Ce qui est étonnant, c’est que ces montants ne semblent aucunement liés aux résultats des élections. Et c’est même l’inverse concernant les partis de gauche : plus ils ont d’élus et plus ils obtiennent de bons résultats… moins ils redonnent au parti.
Comparaison des montants reversés par les élus par rapport aux scores des élections locales
Cela dit, attention au paradoxe de Simpson, puisque les résultats aux législatives concernent quelques centaines d’élus, ceux des municipales des dizaines de milliers, et s’ajoutent à ça les régionales et les départementales, qu’il est difficile d’étudier.
Reste que, comme on le voit, on a clairement des pratiques très différentes entre la gauche et la droite.
Montant total reçu en cotisation des élus, par parti
Les dons
Les dons montrent une toute autre typologie. Les petits partis, généralement locaux, représentent 17% des montants, alors qu’ils sont quasiment absents des autres financements. Si on voit une nouvelle fois apparaître le PCF en haut du classement, il est plus étonnant de voir Reconquête ! en 2e position. Preuve, probablement, que le parti a su massivement rassembler autour de Zemmour afin de combler son absence complète d’autres types de financement, puisqu’à la création, il n’avait quasiment aucun élu, malgré quelques prises au RN. Plutôt étonnant, on voit apparaître également Les Patriotes, LO ou Générations ou le Syndicat de la Famille (ex-Manif pour tous), tandis que les gros partis traditionnels sont plus en retrait. Et le PS n’apparaît même pas dans le classement.
Si c’est effectivement dû à la typologie même de ces derniers partis, qui n’ont pas ou peu d’élus, cela pourrait aussi ressembler à des partis qui ont un positionnement fort auprès desquels les adhérents se retrouvent idéologiquement fortement engagés.
Les aides publiques
Enfin, on a donc les aides publiques. Après avoir vu les autres financements, qui sont donc plutôt liés à des engagements, de particuliers ou d’élus, on peut s’étonner de ces distributions particulièrement antidémocratiques. Parce que certes, ces aides sont principalement liées aux résultats nationaux, et notamment aux fameux 5 % à la présidentielle, qui permet le remboursement des frais de campagne, mais on voit bien que, comparé à ce que les électeurs sont prêts à donner et aux adhérents que ces partis représentent, il y a une vraie différence.
La réalité, c’est que 10 partis prennent à eux seuls 92 % des aides publiques. Et que moins de 30 sont financés par ces mêmes aides. Mais tout ça ressemble surtout à un énorme cercle vicieux où, pour exister, il faut de l’argent, et que pour avoir de l’argent, il faut exister. Certes, Reconquête ! ressemble à un contre-exemple, et le parti macroniste, né sur les cendres (et grâce aux moyens) de la candidature avortée de DSK, avait suivi un chemin un peu identique. Mais la capacité d’acteurs politiques plus petits à exister sur la scène médiatique et électorale semble réellement complexe.
D’où vient donc le pognon ?
Cela dit, ce qui est encore plus intéressant, c’est de voir comment se financent les partis quand on mélange tout ça. Très rapidement on voit que les financements sont très différents en fonction des partis.
Origine des financements par parti
Mais c’est encore plus frappant quand on regroupe les partis par tendance politique, ce qui permet de confirmer les premières impressions racontées avant.
Répartition des revenus en fonction du positionnement sur l’échiquier politique4
Et pourtant…
Il y a quelques années, le patron de l’UDI Jean-Louis Borloo déclarait5 :
« La réalité, aujourd'hui, c'est que le RMI ou l'assistanat, c'est 1.750.000 familles, si l'on met bout à bout, RMI, ASS. »
C’est aussi une marotte à LR, et il y a tout juste deux mois, le wanna-président looser Laurent Wauquiez déclarait6 :
« Il est temps d'arrêter l'assistanat »
Laurent Wauquiez, qui n’a jamais travaillé autrement qu’avec des fonds publics, de l’ambassade d’Égypte à sa sortie de l’ENA, à ses multiples passages à l’Assemblée nationale, dans des ministères ou dans sa région, où il se fait des bouffes à 100K € aux frais du contribuable, le tout organisé par des assistants à Paris qui bossent pour sa candidature, payés par la région.
Assistanat, donc.
La réalité, aujourd’hui, c’est que l’UDI de Borloo c’est 100% d’aides publiques. C’est 65% chez LR de Bruno Retailleau qui disait y’a un mois qu’ « Il faut que le travail paie plus que l'assistanat ». 87% au Modem. 70% au RN. Entre respectivement 10% et 8% pour le LO et le PCF.
Répartition des revenus de LR
Bilan de gestion
Puis se pose une dernière question. Comment ceux qui disent vouloir gérer la France, redresser les comptes publics et autres banalités qu’on raconte quand on n’est pas au pouvoir, gèrent leur propre parti ?
Pour ça, on peut commencer par regarder les 9 partis qui ont fait plus de 500K € de bénéfice. Et je dois bien avouer que c’est finalement assez surprenant. À noter, cela dit, que si le RN affiche un résultat à plus de 4,3 M€, il avait provisionné 2 M€ dans le cadre du procès qui a eu lieu en 2025 et qui a abouti à sa condamnation7. Mais ces comptes ultra bénéficiaires reflètent également la gestion mise en cause, et donc rien ne dit que cela perdurera.
Quant à ceux qui paument du pognon, j’avoue que c’est assez cocasse. Étonnamment, le PCF apparait, en partie à cause de son immense siège du XIXe, mais aussi à cause de son journal, L’Humanité, très déficitaire. Mais c’est surtout à la 1ère et 3e place qu’on a les plus grosses surprises : les deux partis qui ont le plus dominé la Ve République donc ultra déficitaires.
Selon un connaisseur de la vie politique, c’est principalement dû à la fin de l’extrême bipolarité. Jusqu’à la fin du mandat de Sarkozy, la France était dans une opposition très PS-LR. Le fameux UMPS popularisé un temps par le RN. Ce même RN qui est désormais parfaitement dans le système qu’il a longtemps dénigré. A ce système s’est également agrégé LFI (-308K€) puis Renaissance. Sauf que comme on l’a vu, ces partis sont très dépendants des aides. Le simple fait qu’elles soient redistribuées à plusieurs acteurs, et qu’ils aient moins d’élus, alors même que leur train de vie n’a quasiment pas bougé, les amène vers ce que connaissent toutes les entreprises : la faillite. Ce d’autant plus qu’en 2022, entre 4,78% pour Pécresse (LR) et 1,75% pour Hidalgo (PS), les partis ont connu une immense perte qu’ils sont encore en train d’éponger. Même si plusieurs cadres m’ont expliqué en off qu’en réalité, les adhérents en ont un peu marre de payer. Notamment depuis le fameux Sarkothon, suite à l’annulation des frais de campagne
On notera également le cocasse résultat de -724K€ pour le Rassemblement des contribuables français, dirigé par Nicolas Miguet, ex-poujadiste, plusieurs fois condamné par l’AMF après 4 comparutions8, interdit de gestion pendant 5 ans après une fraude fiscale et une faillite douteuse9, puis condamné pour manipulation de cours10. Ce qui ne l’empêche pas de dire que son parti « participe utilement à la prise de conscience nécessaire de la gravité de la situation de nos finances publiques. ». How ironic.
Mais si on retire ces fameuses aides publiques, sur lesquelles une bonne partie de ces partis tapent, le RN reste le seul qui dépasse 1M€ de bénéfice (2,1M€). Suivi de l’UDI (767K€), Reconquête! (492K€) et la Droite Sociale (474K€). Et on découvre que le parti qui dénonce l’assistanat sur tous les médias depuis des années afficherait lui un déficit de 22M€. Les aides représentent… 128% de ses recettes brutes. C’est 13% pour le RN et 0% pour tous les partis qui ne perdent pas l’argent à l’exception des amis du NPA (73%).
Chien mange pas chien
Étonnamment (ou pas), à peu près toutes les dépenses publiques finissent par être disséquées sur un plateau télé. Et on finit, presque sans caricature, avec la droite qui va expliquer que la fraude sociale est un fléau, et la gauche qui va expliquer que la fraude fiscale est un fléau.
Alors certes, selon mes calculs faits sur quelques années, le financement des partis politiques couteraient autour de 150-200M€ / an11. Et c’est sans compter le coût des élus (et leurs frais), y compris celui qui est reversé aux partis. Comparé aux 308G€ de recettes de 445G€ de dépenses du budget 2025, c’est une broutille.
Mais en avril dernier, un décret a fait sauter 3,1G€ de dépenses. Comme par exemple 105M€ pour un programme sur "Énergie, climat et après-mines", 94M€ pour la recherche spatiale, ou 207M€ pour le financement des investissements stratégiques. Et là, on commence à arriver à des échelles qui ressemblent un peu plus au financement de la vie politique en France.
D’autant que, comme la plupart des dépenses de l’État, son efficacité n’a jamais été démontrée… ni même mesurée.
Mais qui va mettre ce sujet sur la table ?
Chien mange pas chien.
Chez Zero Bullshit, on parle souvent des problèmes du secteur. Mais il faut aussi proposer des solutions. C’est pourquoi nous collaborons désormais avec un partenaire spécialisé dans l’accompagnement et le financement des litiges financiers, patrimoniaux ou familiaux complexes.
Cette structure réunit un pool d’experts, adossé à un groupe solide disposant de plus de 100M€ de capital.
Concrètement : si vous faites face à un contentieux financier long et coûteux, nous pouvons étudier le dossier. Et l’intervention ne sera rémunérée qu’en cas de succès.
Par la Préfecture
Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques
Les adhérents sont les nombres déclarés par les partis eux-mêmes
Classification selon le ministère de l’intérieur
Interview de M. Jean-Louis Borloo, ministre de l'emploi, du travail et de la cohésion sociale, à Europe 1 le 5 mai 2004, sur le plan de cohésion sociale, la réforme de l'Unedic et le service public de l'emploi.
Le parti a fait appel
Une nouvelle fois convoqué par la Commission des sanctions de l'AMF, Nicolas Miguet risque gros, Laurence Boisseau, Les Echos, 4 février 2022
La patronne est une fidèle de l'ancien responsable de la faillite. «Minute» revient dans les boîtes aux lettres », Libération, 31 janvier 2000
L’éditeur de presse Nicolas Miguet condamné à un an et demi de prison ferme pour manipulation de cours, Le Monde, 13 décembre 2023
Lissé sur plusieurs années, puisque les élections nationales amènent des surcouts.
Le crédit d’impôts sur les dons a été estimé, en disant que 75% des dons étaient vraiment défiscalisés, ce qui est, a priori, très supérieur à la réalité sur plusieurs experts.














